Méthylcétones, effets, risques, recommandations - PsychoWiki, Wiki de la psychoactivité (2023)

deMéthylphosphonium, de3,4-Méthylènedioxy-N-méthylcassinone, est une molécule synthétique dérivée des cathinones. Ce médicament psychostimulant, empathique et inducteur appartient à la famille des phénéthylamines, des amphétamines et des cathinones. La méthylone est un Research Chemical (RC) vendu sur un site dédié depuis 2004. Il est vendu comme une alternative légale à la MDMA (l'ingrédient actif de l'ecstasy). Il est sur la liste des médicaments depuis 2012.

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  • 1 Qu'est-ce que c'est ? (apparence, odeur, goût, prix)
    • 1.1 Aspects
    • 1.2 Parfum
    • 1.3 Autres noms
    • 1.4 Prix
    • 1.5 Légalité
  • 2 histoire
  • 3 Chimie
  • 4 modes de consommation
  • 5 doses
  • 6 effets attendus
  • 7 Risque lié à la consommation
    • 7.1 Effets indésirables
    • 7.2 Effets secondaires
    • 7.3 Demande
    • 7.4 Descente
    • 7.5 Dépendance
    • 7.6 Impact à moyen/long terme
  • 8 Réduire les risques
  • 9 Méthylcétones et dépistage dans l'urine, la salive, les cheveux et le sang
    • 9.1 Test urinaire rapide
    • 9.2 Test salivaire rapide
    • 9.3 Test capillaire
    • 9.4 Analyse de confirmation en laboratoire
  • 10 Méthylcétone et test d'identification chimique
  • 11 privilège

qu'est-ce que c'est? (apparence, odeur, goût, prix)

Poudre de méthylcétone

aspect

La méthylcétone, également connue sous le nom de bk-MDMA, est disponible sous forme de poudre fine ou cristalline blanche ou jaunâtre. Synthétisé de façon différente, il peut aussi se présenter sous forme de petits cristaux.

La méthylcétone peut également être trouvée dans les comprimés. Certains revendeurs les revendent ensuite sous forme d'ecstasy. Certains sites RC les vendent sous forme de comprimés comme la méthylone ou divers noms commerciaux sans préciser de quoi ils sont faits.

odeur

Comme beaucoup d'autres cathinones synthétiques, la méthylone a une odeur de réglisse très typique et un goût piquant.

Autres noms

  • bk-ecstasy, MDMC
  • Noms de produits connus : Ease, Explosion, Neocor, M1

prix

De 8 à 20 euros le gramme, selon la quantité commandée.

légalité

Depuis l'arrêté du 27 juillet 2012, les méthylcétones sont inscrites sur la liste des substances interdites en France. Le décret étend l'interdiction à "toute molécule dérivée des cathinones, de leurs sels et de leurs stéréoisomères".

Cela signifie que la quasi-totalité des cathinones de synthèse sont de fait interdites de vente, de détention et d'utilisation sur le territoire français. Une telle législation a également été adoptée au Royaume-Uni, quelques mois seulement après l'interdiction de la méphédrone (c'est pourquoi il n'y a pas eu de sites RC au Royaume-Uni vendant des cathinones synthétiques depuis 2010), comme cela a été fait en Belgique en avril. 2013.

Pourtant, les méthylcétones sont facilement disponibles sur Internet.

histoire

La méthylone a été synthétisée pour la première fois en 1996 par Alexander Shulgin et Jacob Peyton et était alors considérée comme un antidépresseur.

Tubes explosifs remplis de méthylcétone

Les méthylcétones ont été introduites en 2004. Il était à l'origine vendu en petites bouteilles sous le nom commercial "Explosion" par un smart store néerlandais, mais comme désodorisant d'ambiance, sans indiquer les ingrédients exacts. La vente des méthylcétones (soit sous leur vrai nom, soit sous le couvert d'un nom commercial) s'est ensuite développée. ) entre 2004 et 2010 dans de nombreux pays, notamment au Royaume-Uni, en Nouvelle-Zélande, aux États-Unis et en Israël.

Chimique

Molécule de méthylcétone et d'ecstasy

Chimiquement c'est une cétone. On parle parfois de bêta-céto-amphétamine pour indiquer qu'elle a la structure générale de l'amphétamine, avec une fonction céto au niveau du carbone bêta de l'atome d'azote. La méthylcétone est la version bêta-céto de la MDMA (la substance active de la MDMA), c'est pourquoi elle est également appelée bk-MDMA (bêta-céto-MDMA).

Il peut également être nommé en tenant compte du squelette de la méthcathinone (bêta-cétoamphétamine) en désignant la présence d'un pont méthylènedioxy comme préfixe, d'où le nom de méthylènedioxyméthcathinone ou MDMC. Cependant, ce nom plus logique n'est pas spécifique, puisque Shulgin et Peyton ont nommé leur autre découverte 3,4-éthylènedioxyméthamphétamine.

modèle de consommation

Comme la MDMA, il est préférable de la prendre "en gouttes", c'est-à-dire prise par voie orale en parachute ou diluée dans un verre. Bien sûr, vous pouvez aussi "sentir", mais l'effet de la sensation est plus faible. Il peut également être injecté (quelques recommandations pour ce mode d'administration) et "inséré" (administré par voie rectale).

«La cathinone se dissout dans l'eau froide donc je ne la chauffe pas sauf si j'ai de grosses pierres et que je suis trop paresseux pour les réduire. Je pense qu'en chauffant on perd en efficacité. Je n'ai jamais eu de problèmes de filtration, au contraire, c'est très clair.»
-(source, abuseur modéré, actif mentalement)

Dosage

  • Voie orale : 100 à 250 mg. Certains utilisateurs rapportent que tout apport supérieur à 180 mg augmente l'impact physique, mais a peu d'effet sur l'empathie et le bien-être. Selon Erowid (comme indiqué):
    • Effetdrempel : 60 - 120 mg
    • Léger : 100 - 150 mg
    • Fréquent : 100 - 250 mg
    • Forteresse : 160 - 270 mg
    • Très fort : 250+mg
  • Nasal : 20 à 40 mg par ligne. Ne pas dépasser 250mg.
  • Par injection : pas de données fiables
  • Voie rectale : pas de données fiables
«Les effets sont très similaires à ceux de la MDMA, mais nécessitent une dose orale très forte de 250 mg, mais ont toujours une sensation d'ecstasy "légère" ou légère.

En plug c'est deux fois plus lu, plus fort que le langage parlé. Donc si cette voie d'administration est utilisée, la dose est réduite de moitié, et 175mg en plug est déjà une dose "lourde".

Si vous aimez l'ecstasy, mais que vous voulez moins de puissance en montée (et donc en descente). Mais pas forcément pour les amateurs de méphédrone ou d'autres stimulants plus dopaminergiques (méthylphénidate, (méth)amphétamines halogénées, etc.).

»
-(Marron, Roxycodon, actif mentalement)

résultat attendu

Les effets de la MDMA ont été décrits comme étant très similaires à ceux de la MDMA.Affinité légèrement plus faible pour le transporteur de la sérotonine que la MDMA, et affinité comparable pour les transporteurs de la dopamine et de la noradrénaline. Cela signifie essentiellement qu'il peut avoirEmpathie et euphorie modérées, semblables aux effets psychoactifs de l'ecstasy.

Contrairement à la MDMA, dont les effets se font sentir entre 20 et 45 minutes après ingestion (par la bouche), la méthylone met plus de temps à monter, entre 45 et 1h30.

Les effets nasaux sont plus rapides (environ vingt minutes).

«La méthylone est souvent comparée à la MDMA, sauf que les effets durent beaucoup moins longtemps et que la méthylone est beaucoup moins puissante que la MDMA. La structure chimique de la méthylone est très similaire à la MDMA. En raison de son faible coût, ce sont les légères modifications de la formule qui rendent la méthylone plus facile et moins coûteuse à produire que la MDMA.»
-(Marron, Loygore, actif mentalement)
«A priser, au passage, l'effet est nettement différent. Eh bien, il n'y a pas de flash et l'effet peut être ressenti en 20 minutes environ.C'est la plus stimulante et la plus douce des trois méthodes d'administration. En para, ça marche bien, c'est plus long et mieux pour socialiser.»
-(source, abuseur modéré, actif mentalement)

A l'injection, l'effet est immédiat, avec des reflets :

«Je peux vous dire que c'est un produit qui se rapproche de l'héroïne lorsqu'il est injecté. . . De cette façon d'administrer, il y a quand même de fortes fringales qui sont difficiles à contrôler au début. Mais ça s'arrête tout seul car finalement tu ne ressens plus rien. Mis à part le flash que j'ai classé séparément, l'effet est absolument non irritant (je trouve aussi que MD n'est pas irritant), le canapé est le meilleur au monde, que puis-je dire d'autre "Nous sommes tellement introvertis et avons un bon corps". Bien que cet effet ait tendance à s'atténuer voire à s'inverser lors du tournage.

Dans mon cas, les flashs ont duré 10 à 15 minutes dans les bonnes conditions, le mot le plus approprié étant "orgasmique". Mais je le répète, dans les bonnes conditions. Cela dit, suffisamment de doses et beaucoup d'espace entre les dernières séances. Sachez que l'effet diminuera après chaque tir. Les paramètres varient beaucoup, et je pense que cela dépend beaucoup de l'humeur et de ce que vous faites. Je dirais entre 20 minutes et 2 heures. Je sais, ce n'est pas très précis, mais c'est ce que je ressens. Par exemple, j'ai ressenti les effets pendant 2 minutes puis plus rien, comme si je n'avais rien mangé.

»
-(source, abuseur modéré, actif mentalement)

résultat attendu:

  • Stimulation physique et intellectuelle
  • Euphorie
  • augmenter les compétences sociales
  • veulent s'exprimer et entrer en contact avec les autres
  • désinhibition
  • sentiment de bonheur
  • détérioration sensorielle
  • libido débridée

Nous ne sommes pas tous égaux face à la médecine, et ce qui fonctionne pour certains peut ne pas fonctionner pour d'autres.

risque de consommation

effet secondaire

Les utilisateurs ont signalé les effets secondaires suivants :

  • sombre nuage de peur
  • Dépersonnalisation
  • hallucination
  • crise psychotique
  • Tachycardie et hypertension artérielle
  • Transpiration excessive et température corporelle élevée
  • Serrer les dents
  • nausée
  • Anorexie
  • vouloir reprendre

effet secondaire

  • Insomnie
  • dysfonction érectile temporaire
  • dépression temporaire
  • La sensation de descente est plus ou moins désagréable selon les individus et la quantité consommée.
  • Brainzaps = Chocs électriques dans le cerveau, surtout lors de l'endormissement après en avoir pris pendant quelques jours.
«Pour moi, la méthylone (dans le tabac à priser et le para) en fait partie. Le matériau d'artisanat le plus instable que j'aie jamais consommé. Plus d'une dizaine de clichés, je me suis beaucoup amusé, mais deux crises majeures en particulier (pas le même jour, mais le lendemain) m'ont parlé d'une crise violente (baisse de la tension artérielle, maux de tête terribles, vomissements, tremblements, sensation qu'on ne s'en remet pas, etc.) et un maximum de 250 à 300 mg en une nuit (seul, pas de combinaison autre que ma marijuana habituelle). J'ai aussi ma commande, je suis assez équilibré, mais avec ce RC je me retrouve battu. Poison pour moi aussi. Une fois l'explosion terminée, vous avez littéralement l'impression que votre corps est marqué.»
- (Bron, De l'alchimiste, actif mentalement)

Exiger

Contrairement à la méphédrone, au MDPV et à de nombreuses autres cathinones synthétiques, la méthylone ne provoque pas de fringales (le désir incontrôlable d'en reprendre) sauf lorsqu'elle est injectée.

origine

Comme pour toutes les drogues, la sensation désagréable à la fin est inversement proportionnelle à la sensation agréable à la "montée". Dans le cas des méthylcétones, si la dose est respectée et considérant que l'augmentation est qualifiée d'assez "modérée" - du moins par rapport à la MDMA - la diminution ne semble pas poser de problème majeur pour la plupart des utilisateurs. Attention : cela ne fonctionne pas pour tout le monde.

dépendance

Nous n'avons pas d'études confirmant le risque de dépendance aux méthylcétones, mais il existe de nombreux témoignages en ligne qui prouvent que les méthylcétones provoquent une dépendance.

«J'ai pris des pilules de 200 mg de médoné par jour pendant 4 mois... on dirait que tu peux arrêter à tout moment mais non maintenant je dois admettre que je suis accro à cette merde parce que j'essaie de ne pas en prendre, mais à la fin de la journée J'étais tellement nerveuse (c'est tout) et endolorie jusqu'aux os, quand je me suis réveillée, je me suis d'abord dit par réflexe "Putain, commence une nouvelle journée de congé, comment vais-je le faire, et fais-le maintenant Mais non, j'ai mon des pilules, super!" Je ne sais pas si c'est plus une dépendance physique ou psychologique, ou les deux.»
-(Marron, sjkwcxvzqh, actif mentalement)

impact à moyen/long terme

Comme pour tous les médicaments de spécialité, les dangers et la neurotoxicité de la sérotonine manquent considérablement de recherches sérieuses, de sorte que les plus grandes précautions doivent être prises. Le Royaume-Uni a enregistré plusieurs hospitalisations graves et certains consommateurs ont mis en garde contre la neurotoxicité de la drogue, mais elle semble moins dangereuse que la MDMA.

«Les méthylcétones sont bon marché, "efficaces", facilement disponibles (aujourd'hui plus considérées comme interdites en France), et surtout, un gâchis neurotoxique intéressant, même à court terme. En Angleterre, de nombreuses personnes ont été hospitalisées après avoir pris Sentinel, même à petites doses « uniques ».»
-(Marron, Loygore, actif mentalement)
«Je prends de la méthylcétone IV. Pas tous les jours, car il y a des pauses entre les deux. Mais perdre 35 à 45 grammes en trois à quatre mois me semble raisonnable. Je me souviens de 8 grammes pendant cinq jours, 5 grammes pendant trois jours... voici ce qui s'est passé quand j'ai abusé de Methylone :
  • La thrombocytopénie dans le sang entraîne un purpura (survient quelques secondes après l'injection !). Absorbé après avoir cessé d'utiliser des produits connexes pendant quelques jours.
  • Ganglions lymphatiques enflammés et douloureux.

Absorbé après avoir cessé d'utiliser des produits connexes pendant quelques jours.

  • Sensation de "brainzap" ? Je pense que c'est ça, la sensation d'être électrocuté dans le corps. Mais pas seulement pendant l'endormissement, mais tout au long de la journée. Mais beaucoup plus facile que ce que j'ai lu ici ou là.
  • Même si on est loin du manque d'héroïne, la sensation de manque de force physique est loin ! !
  • Perte de contact dans deux parties du corps différentes et sans rapport. Au bout d'environ six mois, j'ai repris tout mon sens. En continuant ma consommation, mais beaucoup moins.
  • Vraiment empoisonné mes impressions après le tournage.
»
-(source, abuseur modéré, actif mentalement)

atténuation des risques

  • Le premier risque de medone est le temps d'attentePour l'effet initial, presque le double de celui de l'ecstasy. Les utilisateurs en attente de grimper peuvent alors être tentés de "reprendre" et risquer d'en prendre trop cette fois.
  • Lors de la prise de la première dose, envisagez un test d'anaphylaxie.C'est simple et rapide, et cela sauve des vies. Prenez quelques milligrammes (jusqu'à 5 mg) et attendez 20 minutes en cas d'ingestion et 40 minutes en cas d'ingestion. Si vous ne ressentez rien de spécial, vous pouvez continuer.
  • Côté RC, il y aUne balance précise est fortement recommandée.Les tests d'identité chimique sont également un plus pour s'assurer que la substance commandée correspond à ce que le site Web prétend.
  • Avec les méthylcétones, il faut savoir se contrôler.Après un quart de gramme, il n'est généralement plus logique d'en prendre plus.Comme pour l'ecstasy, une fois la réserve de sérotonine brûlée, en reprendre est inutile voire contre-productif. Vos dents deviendront plus serrées, il vous sera plus difficile de vous endormir et vous pourriez être déprimé pendant les prochains jours.
  • Ne l'utilisez pas pendant des jours/semaines d'affilée sous peine de complications (ex : insomnie, « commotion cérébrale », dépendance psychologique, perte d'effet, dépression, etc.)
  • Compte tenu de l'accessibilité et du prix, ne prenez aucun risque :Ne commandez pas plus de 5 grammes à la foisEtalez vos prises le plus possible (au moins deux semaines).
  • comme toujours,éviter de mélangerNotamment les substances qui agissent sur la libération ou la recapture de la sérotonine. Vous êtes à risque de syndrome sérotoninergique.
  • Fumer de la marijuana contribue certainement au déclin, mais trop d'articulations peuvent entraîner des "commotions cérébrales" (comme des chocs électriques au cerveau) pendant les prochains jours, en particulier lors de l'endormissement.
«Ensuite, les plaintes physiques ont empiré! Mon cœur battait si fort que j'ai cru que j'allais m'évanouir ! Mes crampes d'estomac sont si fortes ! À ce moment-là, j'ai dû vomir !

Au fond de mon esprit, il y avait toujours la dépression intense et l'anxiété qui montait sa vilaine tête. Je pleure! Je ne pleure jamais d'habitude ! c'est effrayant! ! (…)

Cet épisode me fait peur ! Je tiens donc à dire le but de RDR sur le forum. Je suis sûr que ma souffrance est liée à mon overdose de Miaoning ! Je n'ai jamais vécu ça avant ! Mais je ne sais pas si c'est simplement "trouble anxieux" ou "syndrome sérotoninergique" ? ? Vous ne savez pas si c'est possible 3 jours après la dernière dose ? Mais s'il s'agit du syndrome sérotoninergique, cela pourrait aller plus loin ! ! ! Je ne veux certainement pas que quelqu'un passe par là ! J'ai envie de le redire : "Je suis sûr que ça a quelque chose à voir avec mon utilisation du M1 ! Pas ma psychologie, ça va bien !"

Je n'irai plus au M1 tous les week-ends à partir de maintenant. J'attends au moins, et je dis "minimum", 3 semaines avant de procéder ! Je suggère que tout le monde fasse au moins ce "minimum". Respectez la posologie prescrite ! N'abusez pas des méthylcétones ! Sinon ça va faire mal ! ! ! Je ne plaisante pas... ça fait mal !

»
-(source, géant, Psychonavigateur)

Méthylcétones et dépistage dans l'urine, la salive, les cheveux et le sang

Ce n'est pas parce qu'un médicament est nouveau et légal (ou jusqu'à récemment) qu'il ne peut pas être testé ou qu'un résultat positif n'aura pas de conséquences graves. .S'il n'existe pas actuellement d'anticorps synthétiques spécifiques des cathinones détectables par des tests immunochromatographiques rapides (réactions colorées des antigènes entrant en contact avec leurs anticorps), d'urine ou de salive (le développement d'anticorps coûte très cher), nombre de ces substances peuvent encore être détecté par les méthodes suivantes détectent ces tests en raison d'une éventuelle réactivité croisée avec l'amphétamine et/ou la méthamphétamine.

test urinaire rapide

Les corporations, la médecine du travail et parfois la police le pratiquent.

La méthylcétone peut être testée positive pour l'amphétamine et/ou la méthamphétamine. On parle de réactivité croisée.

Quant au moment de la détection dans les urines, puisqu'il n'a pas été étudié scientifiquement, il est plus logique de se référer au temps 1 à 2 jours après l'ingestion d'une amphétamine comme le Speed, ou au temps de la méthamphétamine, qui est de 1 à 2 jours après l'ingestion 2 jours correspond à 1,5 à 3 jours.

Par conséquent, après 3 jours, il ne devrait plus y avoir de traces dans le corps.

Test salivaire rapide

Police sur la route et certaines entreprises pratiquent)

Les méthylcétones peuvent produire des résultats positifs pour l'amphétamine et/ou la méthamphétamine pour les mêmes raisons que les tests d'urine.

Temps de détection : jusqu'à 24 heures.

Tout résultat positif déclencherait une analyse de confirmation par l'hôpital ou le laboratoire pour montrer la présence de méthcathinone.

NOTE : Même si la méthamphétamine n'est pas (ou rarement) consommée en France, la plupart des tests salivaires et multitests urinaires incluent ce paramètre. raison? Les tests s'appliquent également en Amérique du Nord, où la méthamphétamine est répandue.

son test

Il est utilisé pour la restitution du permis de conduire.

Ce dosage de plus en plus utilisé a permis de détecter des cathinones synthétiques, du moins dans les laboratoires de pointe. Lorsqu'une mèche de cheveux leur parvient, ils analysent un panel prédéterminé de substances, généralement les 5 plus courantes (pour des raisons de coût), à savoir le THC, la cocaïne, les opioïdes, l'ecstasy et les amphétamines. Avec la prolifération de l'utilisation des RC, les laboratoires ont été contraints de s'adapter à ces nouvelles habitudes de consommation et ont tenté d'étoffer leurs substrats avec des cathinones synthétiques. C'est le cas des Laboratoires Chem'Tox et Narcocheck.

Temps de détection : Sachant que 1 cm de poil équivaut à un mois de pousse, cette analyse permet de détecter jusqu'à plusieurs mois.

Analyse de confirmation en laboratoire

Elle fait suite à un test urinaire ou salivaire positif, à la remise du permis de conduire, etc.

Qu'il s'agisse de salive, de sang ou d'urine, les laboratoires utilisent la même méthode d'analyse de référence, la GC/MS. En plus des résultats qualitatifs (positifs/négatifs), la GC/MS peut déterminer des doses précises d'anesthésiques traces. Selon que le laboratoire est leader ou non, il peut détecter un très large éventail de substances, dont la méthcathinone. C'est le cas par exemple des laboratoires SERBA, Narcocheck et Biomnis, où diverses cathinones de synthèse figurent sur la liste des substances détectables.

Remarque : Selon le laboratoire ou l'hôpital, un test ELISA® peut également être utilisé pour une analyse de confirmation. Aussi fiable que l'analyse GC/MS, le test ELISA a récemment permis de détecter diverses cathinones synthétiques, notamment grâce au laboratoire américain RANDOX Toxicology, qui a vendu sa nouvelle technologie à ses homologues européens.

Test d'identification de la méthylcétone et des substances chimiques

Via le test ID  "Cathinones synthétiques", la couleur orange/marron confirme la présence de méthylcétones.

privilège

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Author: Neely Ledner

Last Updated: 14/09/2023

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Name: Neely Ledner

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